Le photographe Bertrand Carlier qui nous a accompagné pendant quelques heures sur le trek documente la difficulté de Tsarang de se laisser toucher au niveau des bagages. Je voulais attacher une sangle qui s'était défaite - cela a pris bien dix minutes jusqu'à ce qu'il me laisse approcher. Manipuler les bagages sur son dos lui fait peur. Il faut beaucoup de patience, mais aussi de clarté, de calme et de persistance pour lui communiquer qu'il n'y a aucun danger.
Il a fait des progrès pendant cette semaine en montagne et je continue chaque jour de travailler un moment avec lui, de le toucher avec du Shiatsu et de le bâter et débâter.






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